La lecture du journal de Michel Barnier[1] à travers quatre années de négociations du Brexit est d’une richesse à laquelle une recension ne peut rendre justice. Ayant, des deux côtés de la Manche et sur le plan académique à Columbia Law School, accompagné de l’extérieur les vicissitudes tordues de la négociation des traités et protocoles, je dois reconnaitre mon admiration pour la tâche accomplie par le négociateur de l’Union Européenne et ses équipes. En savoir plus